Pour dramatique qu'est, et doit rester, la mort des sept moines Trappistes de Tibéhirine en 1996, elle est aussi l'occasion de relever la façon dont le journal de 13 heures de France 2 évoque, ce jour, le doute sur sa cause : toujours prétendus victimes du GIA, ils seraient en fait tombés sous les balles de l'armée algérienne, qui aurait ensuite, je cite Elise Lucet, maquillé cette tuerie en assassinat, fin de citation.

La différence méritait, sans doute, d'être faite.